Claude Nougaro nous le rappelait déjà dans les années 70’ : « Assez » crie la nature !
Humain, check-up la réelle situation :
Le mois de mai commence mi mars cette année !
La colère de l’atmosphère rosse les terres d’inondations et de sécheresses.
Les animaux sauvages meurent par nos poisons.
Les buissons fleuris restent vierges des visiteurs ailés.
Les myriades d’oiseaux ne sont plus que de rares individus.
Les poissons migrateurs ne fréquentent plus les rivières empoisonnées qui les menaient à l’orgasme collectif du printemps, là-haut, dans nos montagnes.
L’espace que notre communauté humaine occupe
sera demain la planète tout entière.
La belle Bleue porte déjà les stigmates de nos actions,
jusque dans tous ses recoins les plus cachés.
Aucun espace n’est à l’abri de notre folie ravageuse.
Aucun espace n’est sacralisé pour être réservés aux non humains.
Notre attitude génère une perturbation majeure qui dégrade
l’écosystème
qui nous héberge.
Cela risque fort de devenir un monde où la vie animale disparaît.
Nous avons su dérégler le système naturel par notre technologie,
notre intelligence doit nous offrir la possibilité de réparer ces erreurs.
Nous devons maintenant arrêter d’empoisonner la biosphère,
et faire cheminer l’écosystème vers un équilibre stable et harmonieux,
Fait de communautés d’espèces en interaction, qui participent au bouillonnement de la vie, et maintiennent l’équilibre de l’ensemble.
Respectons-les
Respectons-nous
Marc Péna
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